Un poême ecrit il y a quelques temps. J'avais fait un effort pour toujours respecter l'alexandrin avec la césure comme il faut, mais on peut reprocher le phenomene d'enclise qui revient (trop) souvent. Il me gene un peu a la relecture.
Parfois passent sur moi certains instants d'oubli
où tout me semble beau, et me donne l'envie
de trouver le bonheur, de sourire à la vie,
et sans même penser qu'un jour cela finit.
Alors, tout doucement, mon âme s'agrandit,
et oubliant le temps, et oubliant l'ennui,
je me remplis le coeur en dissipant la nuit,
marchant peut-être seul mais non pas sous la pluie.
Alors, tout doucement, c'est le vent qui se lève,
je me laisse porter, je tombe dans un rêve,
naviguant sur les flots de l'océan des âges,
retrouvant le passé, effaçant ses orages.
Alors, tout doucement, une lumière nait,
elle eclaire mon coeur, et l'ombre disparait.
Bercé du tendre chant des oiseaux s'eveillant,
je peux enfin goûter un instant de suspend
où le temps disparait, en fixant pour jamais,
dans mon âme touchée, d'immortels souvenirs,
et en d'autres instants, peut-être, je pourrai
grâce a eux oublier cette envie de mourir.
Parfois passent sur moi certains instants d'oubli
où tout me semble beau, et me donne l'envie
de trouver le bonheur, de sourire à la vie,
et sans même penser qu'un jour cela finit.
Alors, tout doucement, mon âme s'agrandit,
et oubliant le temps, et oubliant l'ennui,
je me remplis le coeur en dissipant la nuit,
marchant peut-être seul mais non pas sous la pluie.
Alors, tout doucement, c'est le vent qui se lève,
je me laisse porter, je tombe dans un rêve,
naviguant sur les flots de l'océan des âges,
retrouvant le passé, effaçant ses orages.
Alors, tout doucement, une lumière nait,
elle eclaire mon coeur, et l'ombre disparait.
Bercé du tendre chant des oiseaux s'eveillant,
je peux enfin goûter un instant de suspend
où le temps disparait, en fixant pour jamais,
dans mon âme touchée, d'immortels souvenirs,
et en d'autres instants, peut-être, je pourrai
grâce a eux oublier cette envie de mourir.