la réaction d'un pote, que je ne peux m'empêcher de copier ici
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Vu que personne ne veut s’y coller, et que moi j’ai pas eu à le souffrir en HD, je vais essayer de faire court, avec mon vocable à moi plein de « cons », « couilles » et de « tarlouzes » de « chier pute », mais faudra pas me sauter sur le poil, je résume dans mes mots la pensée de ce que j’ai lu (et en plus j’suis catalano languedocien, vous savez qu’ici on est frappé de syndrome de tourette express).
Alors, en gros, c’est un ex ou actuel gars dans le visual qui « témoigne » sous couvert d’anonymat pour cracher dans la soupe (qui est déjà pas ragoûtante), sur un site qui doit s’intéresser à ce genre de chose (ou le décrier, genre anti fan, j’ai pas cherché), et qui dénonce la gestion quasi mafieuse du business de l’entertainement jap (mais quand même plus précisément de la section j pop/rock visual, tous les exemples sont dans cette branche)
ça balance en gros sur la main mise mafieuse et entendue sur le marché par deux ou trois gars qui sont des connards de capitalistes jap, contrôlant tout, le disque, la promo, le passage en concert, les mags, la com, etc… avec le seul souci mercantiliste de pigeonner des emo teen goth pré-pubères en leur vendant du rêve gotico lolita vampirique glam en carton pâte (oh, le scoop, l’eau mouille, le soleil chauffe etc…)
On le savait que sous leurs couches de maquillage plâtrée, sous le silicone ou le collagène de leurs faces refaites au scalpel, on a juste que des gros thons de mecs jap avec des micro penis rabougris et des voix infectes ou inexistantes.
le marché étant nouveau à l’époque des débuts, ils l’ont conquis et divisé en coupe réglée sans réelles concurrences (entente illicites, rho trop nouveau dans le capitalisme, on dirait des vendeurs de phones portables français).
Les mags sont possédés par les label, rhoo, sans rire, les mags jap du genre qui sont plus des catalogues de pub plus que des mags ne sont pas très indépendants, quelle surprise ! C’est vrai qu’a coté metallian pourtant très (très) critiquable fait figure de vértable brûlot d’investigation, mais ce reproche n’est ptet pas limité au visual ou à l’entertainement jap, y a beaucoup trop de concentration (verticale ou horizontale) au japon, il y a qu’a voir ce qui se passe au niveau des firmes de jeux vidéos d’ailleurs. Alors que l’édition, les médias, la musique soient un peu sclerosés…
Les labels feraient tout, des bénéfices au design de membre du groupe, les compos etc , avec des petites mains style salary men yakuza like exploités, les visualleux ne serait que des pions du même genre, des losers sans talent, issus des recalés des diplômes ou limite de ptits voyous en herbe repêchés , mais voulant réussir vite, comme ceux qui vont à la nouvelle star et star ac.
Mais tout ça aussi est d ‘un neuf : ils sont exploités avec des contrat miteux et selon l’article devraient vivre en colloc dans des apparts miteux, devant parfois faire les host dans des salons ou la pute à crack pour arrondir les fin de mois (selon l’auteur de ce témoignage), pour faire dans le sordide bien exagéré.
En gros, la big révélation c ‘est qu’un seul et même mec (ou presque) compose toutes les boues décidées par le label d’un groupe à l’autre, c’est vraiment pas une surprise non plus (ça s’entend, et c’est pas bon), que ce business n’autorise pas de vie privée pour maintenir du rêve d’androgyne tarlouze inaccessible et éthéré, c’est vraiment inédit, les boys band, même claude françois le faisaient déjà dans des genres différents (et les autres genres de musiques jap le font aussi, boys band, idol, pop, rap et r’n’b jap, ces deux derniers étant certainement la vrai musique du diable plus que le black metal tellement elle est méphitique et nuisible).
Que le label sorte plein de maxi EP, single, au lieu de faire de vrais albums de musique (terme qu’ils ont oubliés depuis longtemps), pour raquetter le client avec des collectors ou des best of porno nippon avec deux titres originaux moisis pour vendre des concerts pour vieux fan de bon jovi, ça me surprend pas non plus. Le japon est le champion de ce genre de combine marketting.
Le gars annonce que pour garder le rêve, les « acteurs » du groupe ,ne céderaient pas sexeullement à leurs groupies pour maintenir la flamme et vendre encore du concert et de l’inaccessibilité (dur d’y croire en tant que mâle caucasien moyen entre 20 et 25 ans, mais c’est vrai que vu la tronche de mérou de certaines fans jap, je peux les comprendre mieux). Un peu gros, mais pas autant que les démarchage par mailing list pour quémander des venues au concert ou attiser la fausse compétition entre ces « groupes », vendre du goods, etc...
Les groupes seraient pour la plupart montés de toutes pièces, parfois avec des split et démarchages plus ou moins organisés, pour créer de magnifiques nouveaux groupes de all stars… Le tout avec des musicos sans talent eux aussi montés de toutes pièces, mais qui présentent le mieux ou vendent le mieux, comme le disait excel saga.
L’affaire menée dans un mépris général du public, voire de la méfiance vis à vis des hysteros malentendantes (malentendants ?) qui suivraient ces groupes.
donc tout ça enfonce beaucoup de portes ouvertes avec pas mal d’hyperboles dignes de captain tsubasa ou d’un récit de pécheur marseillais, et qui sont à mon goût questionnables (je sais que les japonais sont souvent, surtout musicalement, des sous-hommes pas très catholiques [plus shinto boudhiste je crois], mais là ça pousse sévère).
Je dis pas ça pour les défendre, mais comme je dis la source est anonyme, sur un site ou j’ai rien vu de vérifié « vu et entendu » de mes propres sens, je peux en balancer de pareils., ce serait tout aussi invérifiable…
Dans ce résumé, j’ai un peu forcé le trait avec du second degré un peu troll mais dire que ce gros marché business visualeu ou « musical jap », mainstream ou pseudo indies et géré comme une mafia (ou par une mafia… nous on a univer$a£e music avec ces star ac et nouvelle star, je crois qu’ils ont les droits des artistes des 2 franchises, avec comme parrain m. pa$cal n€gr€, le lobbyiste corrompu proche de gens de pouvoir), ce ne serait pas nouveau.
C’est la façon de gérer le gros soussous de business de masse, pour des masses prêtes à être pigeonnées.
D’ailleurs si à mon goût y a pas ou très peu de metal jap qui tienne la route, c’est à cause de l’omniprésence de ce coté mercantiliste sur le marché intérieur jap nombriliste et sclérosé, expliquant ainsi que certains se barrent sur de vrais micro label allemands, finlandais, autrichien, français que sais-je, pour vraiment faire de la musique (spinefarm, listenable ou des trucs du genre).
Les fameux labels jap ou maisons de disques devant aussi, si mes souvenirs sont bons, bien se sucrer en distribution sur les groupes gaijins qu’ils importent, avec le même souci mercantiliste méprisable, souvenez vous, metalleux, des fameux titres bonus jap introuvables, juste pour justifier la plus value sur le produit à vendre la bas. c’est une obligation contractuelle détestable et bien mercantiliste exigé par ce marché nippon sans aucune justification artistique et qui au final ne me surprend plus guère et ne devrait pas non plus vous surprendre.
C’est le pays du jetable, du consommable, du consumérisme à outrance (même si y a des contrepoids spirituels, culturels, traditionnelles opposables)
et leur ziques est comme çà aussi. Ils pourraient vendre des patates que ce serait pareil… et il s sont pas les seuls dans le monde (l’intw suggère que ce serait les meilleurs, les plus rationnels et plus vicieux vendeurs de patates du monde cependant)
ça veut pas dire qu'il ne peut pas y avoir d'exception non plus, de belles choses qui sorte de ce magma informe... en visu j'suis pas sûr, j'en a pas trouvé ^^ mais c'est mon coté troll.
Le reste des exemples nombreux et à tous les niveaux imaginables présents dans cette interview sont de ce tenant, une vision sombre d’un marché froid et sans créativité, calculateur, manipulateur, méprisant etc…
ces propose n’engageants que son / ses auteurs, n’allez pas me flammer pour ça.
Y a cependant un point sur lequel je suis encore plus circonspect : sur les « bonnes années » d’avant, le modus operandi sordide démontré s’appliquant aussi au début de ce marché, qui se découvrait lui même et qui s’est construit comme la conquête de l’ouest, violemment mais sans originalité ou qualité qu’on pourrait lui prêter… tout ça parce que ça aurait été mieux avant… ça reste une potasse de glam rock kabuki gay metalisant par moment gothico kitsch, tout un ramassis d’éléments non inédits voire assez faisandés passés à la moulinette nippone et matrice d’un golem bancal qui tend à débarquer aujourd’hui sur d’autres pays (déjà qu’à ses débuts ça sentait le réchauffé, imaginez maintenant),
avec des avatars locaux comme tokio hotel très proche dans la gestation ou la gestion si vous y regardez bien.
Au final, moi tout ça j’m’en fous, j’écoute de la musique…"
PS: le porno nippon dans le texte c'est le surnom que donne le pote à X japan